Nicolas THUI

Marionnettiste d'ombre, Musicien, Conteur
Nicolas THUI est un artiste à plusieurs facettes.
    D’abord musicien et chanteur, il entreprend en 2000 un long voyage à travers 17 pays d’Afrique, à la rencontre des cultures.
    Depuis son retour en 2008, il crée le Théâtre d’ombre du Baobab, donne des concerts, raconte des histoires, anime des ateliers autour de l’Afrique et enseigne la guitare.
Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

Né en 1973, enfant passionné de dessin, de nature et de cabanes, Nicolas a commencé la musique très jeune dans l’école de musique de La Roche Blanche (Puy de Dôme). 
    Adolescent, il joue dans un groupe de rock, puis découvre le Jazz, pour lequel il se passionne. 
    Il fera des études de Jazz à l’I.E.M. de Clermont- Ferrand, puis à Paris avec Pierre Cullaz. 
 
    Après avoir joué dans diverses formations, il entame à 25 ans un grand voyage de plus de 8 ans, dont 7 ans dans 17 pays d’Afrique.
    8 ans d’aventures, de rencontres et de découvertes, guitare à l’épaule, sac au dos, avec Nestor, ce chien qui s’est embarqué dans le voyage pratiquement de force! (voir dans Le voyage de Nestor).
    De retour en France en 2008, il devient intermittent du spectacle en faisant des concerts en solo ou en duo avec le percussionniste guinéen Morlaye Fofana (Sunny Side). 
    Le répertoire mêle, avec une grande liberté, en métissant les styles, de grands standards de la musique africaine, du jazz, de la soul, du blues, du reggae et de la chanson française, à de chaudes compositions afro-soul.
 
    Au fil des années, Nicolas commence à aller raconter son voyage auprès du jeune public et public en situation de handicap, ce qui l’amène très naturellement à l’art du conte (et plus particulièrement du conte musical), pour lequel il se prend de passion. 
    Une rencontre, suivie d’un stage, sera déterminante, avec le grand conteur-musicien Michel Hindenoch. 
 
    Le contact avec le jeune public, un goût pour la création graphique et le bricolage de précision, l’amènent à imaginer et à réaliser, sur plus de 10 ans, le Théâtre d’ombre du Baobab: 
    – 14 marionnettes d’ombre, 6 marionnettes à fil évoluant dans 3 décors différents
    – 2 scènes
    – un grand castelet entièrement démontable et transportable
    – 3 contes en ombre dont 2 traditionnels africains et une création
    – 3 intermèdes avec les marionnettes à fil
 
    2 ans passés comme animateur en centres de loisirs lui permettront d’expérimenter toutes sortes d’activités créatives, en surfant sur l’imagination des enfants.
    De cette expérience très riche naîtront:
    – un atelier d’éco-construction en argile, bois et paille (réalisation d’une mini-case africaine)
    – un atelier de fabrication de marionnettes d’ombre, suivi de manipulation, répétition et production d’un spectacle
    – un atelier d’initiation au rythme, au chant et à la danse, par le jeu, le plaisir partagé
 
    Parallèlement à son activité artistique, il enseigne la guitare depuis 2009 dans plusieurs écoles de musique du Puy de Dôme (Les Ançizes, La Bourboule, Ceyrat, Vic-le-Comte, Lezoux).
Mes vidéos ?

Mes vidéos

Théâtre d’ombre du Baobab

Le Théâtre d’ombre du Baobab, c’est une création étalée sur plus de 10 ans, un énorme investissement de passion, de temps et de moyens, c’est un petit monde qui prend vie dès que la lumière s’éteint, et que le théâtre s’allume…

Sunny Side

Concert en duo de Nicolas Thui avec le percussionniste Morlaye Fofana. Les 2 amis, à la complicité musicale évidente, vous interprètent avec une bonne dose d’improvisation leur répertoire afro-soul, afro-blues, afro-reggae, ou tout simplement africain !

la bétaillère à spectacles

La Bétaillère à Spectacles, m’a servi pendant des années à transporter mon matériel de spectacle, jusqu’au jour où je me suis rendu compte qu’elle était un spectacle en soi ! D’où l’idée de la transformer en une petite scène facile à installer dans tout endroit paisible et chaleureux pour un beau moment de partage…

Touche Terre

Touche Terre est un jeu de « chaise musicale », mais sans chaise ! Il s’agit de danser sur un rythme de balafon, et c’est le dernier qui touche le sol qui est éliminé lorsque la musique s’arrête, toujours sur la même phrase musicale.

Ché ché kulé

Sur cet air traditionnel, nous chantons en question-réponse, mettons en place une petite chorégraphie, et puis dansons librement !